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Carte voyage MM 2017 Page d'accueil du site

J'ai pris un peu plus de cinq semaines de vacances entre la mi-novembre et la fin-décembre de cette année 2017. Je suis retourné en Éthiopie, après un premier voyage en 2014.
En cette fin 2017 j'ai surtout profité du climat chaud, sans chercher à visiter le pays comme je l'avais fait en 2014. Je suis quand même allé pour la première fois vers l'Ouest du pays et j'ai aussi pris le vieux train qui circule encore entre Dire Dawa et la frontière avec Djibouti.

La plupart des liens s'ouvrent dans un autre onglet (en général le même onglet est réutilisé). Le voyage de 2014 va rester dans son onglet (Éthiopie et Somaliland). Les onglets devront donc se présenter à peu près ainsi :
Onglet de gaucheOnglet du milieu (voyage 2014)Onglet de droite (autres liens)
La plupart des photos peuvent être agrandies (il faut ensuite revenir à la page principale). Les vues panoramiques une fois agrandies nécessitent en général un "clic" supplémentaire pour un affichage en résolution complète, selon les navigateurs. Ensuite il faut utiliser les "ascenseurs" sur les écrans de résolution faible ou moyenne. Sur les images non agrandies, les infobulles peuvent donner des indications (placer le curseur sur la petite image).
Merci à Wikipedia pour tous les articles vers lesquels nous mettons des liens. Nous mettons parfois le lien vers la page en anglais si elle est mieux illustrée que celle en français.

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La carte principale ci-dessous peut être agrandie et déplacée avec la souris. Merci à umap et openstreetmap.org.

 Carte  du voyage (arrêts pour au moins une nuit).   MM fin 2017

  Carte en grand format dans un autre onglet
Éthiopie
Éthiopie
L'Éthiopie dans WikipediaL'Éthiopie dans Wikipedia
Je ne vais pas beaucoup parler de l'Éthiopie ici. Pour celui qui visite ce pays comme je le fais, il s'agit d'une destination très économique pour passer une partie de l'hiver au chaud. Pour d'autres touristes qui voyagent avec un guide et un chauffeur c'est au contraire une destination plutôt chère. Cette fois je n'ai pas visité les zones historiques du Nord, ni les régions du Sud, avec toutes leurs ethnies. J'ai essentiellement voyagé dans une bande étroite entre l'Est et l'Ouest du pays
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Voilà ce que j'écrivais en. 2014.

Gambela
C'est ma première visite dans l'Ouest du pays. Gambela est à la fois le nom d'une région administrative et de sa capitale. Pour se rendre à Gambela on traverse des montagnes humides où on cultive le café, mais aussi le thé et, bien sûr, le qat. Gambela elle-même est à basse altitude (526 m), et il y fait chaud, de jour comme de nuit. Selon les marques kilométriques, on est à 770 km de la capitale Addis Abeba.
Jusqu'en 1936 le port sur la rivière Baro (un affluent du Nil) était actif. Le déclin a commencé avec les prémices de la 2ème guerre mondiale et l'occupation italienne, les conflits d'intérêt avec les Anglais étant insurmontables. Le port a cessé toute activité significative depuis les années 1990. Plus récemment les conflits ethniques ont marqué la région et la ville. Il y a eu des incidents avec le Soudan du Sud qui n'est qu'à une vingtaine de km de Gambela.
Région Gambela
Gambela (la ville)dans WikipediaGambela dans Wikipedia
La station de bus de Gambela. On remarque que les Nuer et les Anuaks sont très grands, très minces, très noirs.
Station de bus à Gambela
Un vieux bâtiment (sans doute un fort) qui date de l'occupation italienne. Il porte les lettres ILCI.
Le vieux fort italien
Le pont sur la Rivière Baro est l'un des plus longs d'Éthiopie (305 m)
Le pont sur la Rivière Baro
En cette saison (fin novembre), le niveau de l'eau est bas.
Un bras de la Rivière Baro
Un ancien bateau à l'emplacement du port.
Ancien bateau à moteur
Quelques vestiges de bateaux témoignent de l'ancienne activité du port.
Anciens moteurs de bateaux
Le rond-point au centre-ville de Gambela
Le rond-point au centre-ville

Hawassa
Hawassa (on trouve aussi l'orthographe Awasa) est la capitale de la Région des Nations, Nationalités et Peuples du Sud  (SNNPR en Anglais).  C'est une grande ville plutôt moderne. Pour le visiteur comme moi c'est surtout le Lac Awasa qui a un certain attrait.
J'ai passé plusieurs jours à Hawassa, en plusieurs fois. J'ai partagé une excursion en bateau sur le lac avec deux autres touristes. C'est intéressant pour voir les hippopotames et les installations des pêcheurs. Notons que le Nord du lac est dans la région Oromo.

Voilà ce que j'écrivais en 2014 sur Hawassa et le Lac Awasa.
Région SNNP
Hawassa dans Wikipedia  (en Anglais)Hawassa dans Wikipedia
Monument aux Peuples et Nations du Sud.
Monument central
On voit trois espèces d'oiseaux sur la photo.
Héron et ouettes d'Égypte
Un marabout d'Afrique (Leptoptilos crumenifer) devant le Lac Awasa. On voit aussi un pêcheur sur un bateau de roseaux.
Marabout
Pêcheur sur un bateau traditionnel en roseaux.
Pêcheur sur le Lac Awasa
Il y a plusieurs groupes d'hippopotames sur le lac Awasa.
Hippopotame
Partie Nord du Lac Awasa, près du village de pêcheurs.
Pélicans et autres oiseaux
Les oiseaux sont nombreux là où les pêcheurs trient le poisson.
Pélicans et pêcheurs
Aigle pêcheur africain ou Pygargue vocifer (Haliaeetus vocifer).
Aigle pêcheur
Calao à joues argent (Bycanistes brevis) près du Lac Awasa.
Grand calao
Aigle pêcheur africain. Il vient d'attraper un poisson.
Aigle pêcheur
Marabout et ibis sacrés dans une mare en marge du Lac Awasa.
Marabout et ibis
J'ai mangé un tilapia grillé au bord du Lac Awasa. Les marabouts ont eu les arêtes.
Tilapia grillé

Ziway
J'aime bien Ziway. C'est une petite ville sur la route de Shashamene (2014), à moins de trois heures de la capitale, ce qui permet d'éviter de dormir à Addis Abeba le premier ou le dernier jour des vacances. L'altitude est d'environ 1640 m, et les nuits d'hiver sont moins froides qu'à la capitale. Je suis passé plusieurs fois à Ziway pendant ce voyage.
Le Lac Ziway est plus grand que le Lac Awasa, mais moins fréquenté par les touristes. Il y a pourtant beaucoup d'oiseaux et aussi des hippopotames. De plus on peut visiter les îles.

Voilà ce que j'écrivais en 2014 sur Ziway et le Lac Ziway.
Région Oromia
Ziway dans Wikipedia (en Anglais)Ziway dans Wikipedia
Une rue de Ziway
Une rue de Ziway
L'entrée de l'Université d'Oromia à Ziway. Le nom est écrit en trois langues.
Université d'Oromia
Église orthodoxe éthiopienne à Ziway. En 2014 elle était en construction.
  Église orthodoxe éthiopienne
Minaret d'une grande mosquée à Ziway. En 2014 il était en construction.
Minaret
Martin-pêcheur pie (Ceryle rudis), commun en Afrique.
Martin-pêcheur pie
Vautour charognard (Necrosyrtes monachus) près du Lac Ziway
Vautour charognard
Ibis falcinelle (Plegadis falcinellus) sur le Lac Ziway
  Ibis falcinelle
Les marabouts (Leptoptilos crumenifer) nichent sur les acacias.
Marabouts d'Afrique
Aigrette, tantale (Mycteria ibis) et ibis sacré au bord du Lac ZiwayOiseaux au bord du lac
Groupe de pélicans blancs (Pelecanus onocrotalus) sur le Lac Ziway
  Pélicans blancs
Les pêcheurs lancent les déchets de poisson aux marabouts en bordure du Lac Ziway
Les marabouts récupèrent les déchets
Il y a beaucoup d'autres espèces d'oiseaux, sédentaires ou migrateurs.
Ibis et ouette d'Égypte
Ombrettes, ibis et pélicans attendent quelques déchets de poisson sur le Lac Ziway.
  Pêcheurs et oiseaux

Dire Dawa
Je connaissais déjà Dire Dawa. Cette fois j'y suis passé à plusieurs reprises. Dire Dawa a connu à l'origine un rapport étroit avec la France. Il en reste des traces (voir plus bas) et j'ai rencontré plusieurs personnes qui parlaient bien le Français (dont les employés du Chemin de Fer).
J'ai eu la chance de pouvoir faire le voyage en train jusqu'à la frontière avec Djibouti, et de revenir aussi en train le lendemain (voir plus bas). J'ai aussi fait un tour en Peugeot 404 dans la ville, et c'était un vrai bonheur de circuler dans cette voiture de 1960.

Voilà ce que j'écrivais en 2014 sur Dire Dawa.
Dire Dawa n'a pas de drapeau officiel (extrait de Wikipedia)
Dire Dawa dans WikipediaDire Dawa dans Wikipedia

Le Chemin de Fer Dijibouto-Éthiopien fonctionne encore entre Dire Dawa et Gelile, à la frontière.
La gare de Dire Dawa
Le Marché Kefira est au Sud de la Ville. Il déborde largement de ses murs et il y a d'autres marchés à Dire Dawa.
Le Marché Kafira
La rivière Dechatu a rarement de l'eau. Plusieurs routes la traversent, et il existe un pont.
La Rivière Dechatu
Ce monument rappelle que la ville est pavée depuis 1935 de l'Ère Commune (aussi appelée Ère Chrétienne), ce qui doit faire 1927 ou 1928 dans le calendrier Éthiopien. Il y a une petite faute d'anglais.
Ville pavée
Cet autorail, exposé devant la gare, date de 1938. La partie basse est une réparation.
Ancien autorail FIAT
Megala est en rive droite de la Rivière Dechatu. C'est le quartier un peu moins riche, et un peu plus musulman de la ville.
Du côté de Megala
Kezira est en rive gauche de la Rivière Dechatu. C'est là que se trouve le "Carré Français".
Du côté de Kezira
Les bâtiments ont une architecture d'inspiration orientale.
Dans le "carré Français"
Comme à Harar il y a encore quelques voitures française à Dire Dawa.
Anciennes voitures françaises
Un autre bâtiment influencé par l'architecture européenne et celle du Moyen-Orient.
Du côté de Kezira
À Dire Dawa il y a quelques cochons qui vivent heureux dans les ordures.
Il y a des cochons à DD
Les dromadaires sont utilisés même en ville.
Il y a des dromadaires

La France à Dire Dawa
Dire Dawa a été fondée au début du 20ème siècle avec la construction du Chemin de Fer. Le Français étant la langue de travail, les employés étaient instruits dans cette langue à Dire Dawa avant d'être envoyés à Djibouti ou à Addis Abeba. Il y a eu une importante présence française jusqu'en 1974. À cette époque on enseignait aussi le Français dans une école confessionnelle, l'École Notre-Dame. J'ai rencontré à Dire Dawa plusieurs personnes qui parlaient bien le Français, et pas seulement des employés du Chemin de Fer.
Aujourd'hui il y a l'Alliance Française, qui dispense un enseignement de qualité, donne des cours de Français et organise des manifestations culturelles. Dans la ville de Awash (où passait autrefois le train) il y a aussi ce restaurant.
Rue de France, au cœur du "Carré Français"
Rue de France
Cette pâtisserie se trouve du côté de Megala, donc en dehors du "Carré Français".
Pâtisserie à Megala
Pharmacie dans le "Carré Français" à Dire Dawa.
Pharmacie à Kezira
L'Alliance Française à Dire Dawa (ou Dire Daoua).
Entrée de l'Alliance Française
Dans la cour de l"Alliance Française. Il y a plusieurs classes d'école.
Dans la cour de l'Alliance Française
On a peint ces deux coqs aux couleurs de l'Éthiopie et de la France.
Deux coqs aux couleurs des drapeaux
Je suis monté dans cette Peigeot 404.
Une Peugeot 404 de 1960
Dans la Peugeot 404 de 1960.
Un petit tour en Peugeot 404
Enseigne du National Hotel rédigée en français.
National Hôtel

Harar
Je suis passé plusieurs fois à Harar, même si je n'y ai dormi que deux nuits cette fois. C'est surtout la Vieille Ville qui est intéressante, avec ses murailles crénelées et ses bâtiments anciens. Harar est une ville importante pour l'Islam. On lit parfois que Harar serait la 4ème Ville Sainte de l'Islam, mais je n'ai pas trouvé de référence originale. Dans la Vieille Ville c'est la Cathédrale Orthodoxe qui occupe une place centrale. Richard Francis Burton serait probablement le premier Européen entré dans Harar le 02 janvier 1955. Par la suite Arthur Rimbaud a vécu dans la ville pendant les années 1880. Henry de Monfreid avait une maison à Araoué, près de Harar (il faisait également des affaires à Dire Dawa).
Sur la Grande Porte Ouest, le portrait est celui du dernier Émir de la ville, Abd Allah II ibn Ali Abd ash-Shakur (déchu en 1887), mais la liste affichée en ville n'est pas à jour.

Voilà ce que j'écrivais en 2014 sur Harar.
Région Harar
Harar dans WikipediaHarar dans Wikipedia
La Porte Est (ou Herer Gate ou encore Argob Bari) : c'est par cette Porte que Richard Burton est entré à Harar en 1854.
La Porte Est (Argob Bari)
La rue principale de la Vieille Ville, entre la Porte Ouest et la Place de la Cathédrale.
Rue principale
La Porte Ouest (Harar Gate, Duke's Gate) est la plus large. Le portrait est celui du dernier émir d'Harar, Abd Allah II ibn Ali Abd ash-Shakur (déchu en 1887).
La Porte Ouest (Harar Gate)
Un Ficus dans la Vieille Ville de Harar.
Ficus
Au bout de la rue principale il y a cette Place, avec la Cathédrale
Place principale dans la Vieille Ville
Shoa Gate (Asmaddin Bari) est l'entrée du marché principal de Harar.
Asmaddin Bari et taxis
La ville natale d'Arthur Rimbaud est jumelée avec Harar. Cette avenue est à l'Ouest de la Vieille Ville.
Avenue Charleville-Mézières
Ancienne boîte à lettres, avec inscription en Amharique et en Français.
Boîte à lettres
Atelier de mécanique, avec un moteur sur une presse .
Atelier de mécanique de précision
Ce beau bâtiment est devenu un Centre d'Artisanat
Maison de l'Artisanat
Ce gros Ficus dissimule un sanctuaire.
Ficus et sanctuaire
La Porte Sud (Buda Gate, ou Bedri Bari).
La Porte Sud (Bedri Bari)
Vue panoramique. On distingue la Vieille Ville devant la Porte du marché.
Vue panoramique : Asmaddin Bari (Shoa Gate) et les véhicules de transport

Babile
Babile (on trouve aussi l'orthographe Babille) n'est qu'à une trentaine de km à l'Est de Harar. J'ai passé une nuit à Babile. L'altitude de la ville est d'environ 1640 m, et la région est globalement aride même si les sources ne manquent pas. Les gros blocs de granite marquent le paysage, en particulier cette colline qui surplombe la ville. Quelques km plus à l'Est, en direction de Jijiga, se trouve le Défilé de Dakhata, dit aussi "Valley of Marvels". Il s'agit de blocs de granite dont certains semblent en équilibre précaire. Cette fois j'ai juste fait un aller-retour en tuk-tuk dans le défilé, et je n'ai pas vu de singes ni de damans des rochers.

Voilà ce que j'écrivais en 2014 sur Babile.
Région Oromia
Babile dans WikipediaBabile dans Wikipedia
Cette colline rocheuse surplombe Babile. Je l'avais déjà gravie en 2014.
Rochers au-dessus de Babile
À Babile il y a cette grande église orthodoxe.
Église Orthodoxe à Babile
Ce minaret était en construction en 2014.
Mosquée à Babile
Depuis la colline rocheuse on voit une grande partie de Babile.
Panorama de Babile
Ce rocher est le plus emblématique du Défilé de Dakhata.
Défilé de Dakhata
Le défilé de Dakhata [aussi appelé Valley of Marvels (Vallée des Merveilles)] est à quelques km à l'Est de Babile.
Défilé de Dakhata
Montage de plusieurs photos.
Panorama du Défilé de Dakhata

Jijiga
Jijiga (on trouve aussi en Français Djidjiga) est la capitale, un peu excentrée, de la Région Somali de l'Éthiopie. C'est une grande ville, essentiellement musulmane, (je n'ai pas vu d'établissement où on sert de l'alcool). J'ai retrouvé le petit hôtel où j'étais resté en 2014 (il a changé de nom).
Sur le rond-point principal il y a une statue de Sayyid Mohamed Abdullah Hassan, qui a fait polémique, puisque ce chef religieux et chef de guerre Somali a combattu l'Éthiopie en Ogaden. La statue me semble identique à celle qui existait à Mogadiscio en Somalie.

Voilà ce que j'écrivais en 2014 sur Jijiga.
Région Somali
Jijiga dans Wikipedia (en Anglais)Jijiga dans Wikipedia
Les vautours passent la nuit sur la tour de télécommunications.
Vautours
Les aigrettes se rassemblent pour passer la nuit.
Aigrettes à Jijiga
Une des nombreuses mosquées de Jijiga.
Une des mosquées
Sayyid Mohamed Abdullah Hassan repousse toujours l'envahisseur.
Sayyid Mohamed Abdullah Hassan






Somaliland
Somaliland
Le Somaliland dans WikipediaLe Somaliland dans Wikipedia
J'ai voulu aller au Somaliland, comme je l'avais fait en 2014. Depuis Jijiga on est très vite à la frontière et les formalités sont assez simples pour la franchir. Ensuite on va facilement en taxi collectif jusqu'à la capitale Hargeisa. Au Somaliland les directives concernant les touristes sont variables. Si en 2014 j'avais voyagé librement, cette fois je me suis fait renvoyer à Hargeisa quand j'ai pris un bus pour Berbera. Cela m'a mis de très mauvaise humeur et j'ai vite quitté le Somaliland pour retourner en Éthiopie. Je ne ferai pas plus de commentaires ici.
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Voilà ce que j'écrivais en 2014.sur le Somaliland.

Hargeisa
Je n'ai donc vu cette fois que la route qui va de la frontière (Wajaale) à la capitale, Hargeisa, où j'ai passé deux nuits. J'ai eu le temps de me faire couper les cheveux (en Afrique je me suis fait couper les cheveux dans six pays au total). Hargeisa a peu changé depuis 2014. Il y a toujours le même trafic routier, et le marché est toujours aussi grand et varié. Les changeurs de monnaie ont toujours leur gros volume de billets. Pour un US$ on a 10 000 Shillings du Somaliland (si on a des Euros, il vaut mieux aller dans une banque et les changer d'abord en US$).  La rivière n'a toujours pas d'eau et toujours beaucoup de plastique, sacs et bouteilles. Le monument (avion MIG-17) commémore la guerre d'indépendance vers la fin des années 1980.
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Voilà ce que j'écrivais en. 2014 sur Hargeisa.
Armoiries du Somaliland
Hargeisa dans WikipediaHargeisa dans Wikipedia
La rivière qui fait frontière entre l'Éthiopie et le Somaliland (à Wajaale).
Frontière
Monument commémoratif de la guerre. Il s'agit d'un MIG-17 de l'armée somalienne (ennemie des indépendantistes du Somaliland).
Monument commémoratif
Monument commémoratif de la guerre. Il s'agit d'un MIG-17 de l'armée somalienne (ennemie des indépendantistes du Somaliland).
Monument commémoratif
Changeuse de monnaie à Hargeisa. Les changeurs sont nombreux, mais convertissent essentiellement des US$ en Shillings du Somaliland.
Changeuse de monnaie
Changeur de monnaie à Hargeisa. Les changeurs sont nombreux, mais convertissent essentiellement des US$ en Shillings du Somaliland.
Changeur
La rivière qui traverse Hargeisa a rarement de l'eau.
Rivière à Hargeisa
Hargeisa vue d'avion. Le Nord est vers la droite de l'image. On reconnait le centre-ville juste au Nord de la rivière (un peu à droite du centre de la photo).
Hargeisa vue d'avion







Divers
Zebidar (bière)
Je vais montrer ici quelques photos prises un peu partout pendant ce voyage. Comme j'ai surtout pris des photos depuis le bus, il y en a très peu qui sont montrables. Depuis le train il y en a quelques-unes (le train n'a pas de vitres et bouge un peu moins que les bus). Même les paysages sont trop difficiles à photographier depuis un bus. J'ai bien vu quelques animaux sauvages depuis le bus, mais je n'ai pas de photo. C'est pareil pour les travaux agricoles que j'aurais aimé voir de plus près.

Les transports
J'ai surtout voyagé en bus et minibus. Comme ailleurs en Afrique il faut savoir rester patient. Dans les villes on utilise les tuk-tuks, appelés ici Bajaj, du nom d'un constructeur Indien. Il y a a un peu moins de ces vieux camions italiens, et un peu plus de nouveaux camions chinois. La nouvelle ligne de chemin de fer, construite par les Chinois, sera bientôt en service. Il y a aussi beaucoup de transport local effectué à la force humaine ou animale.

Voilà ce que j'écrivais en 2014 sur les transports.
Ambo (eau gazeuse)
Autocar FIAT 662 N3, construit entre 1970 et 1073 (vu à Dire Dawa).
Autocar Fiat ancien
Minibus avec des moutons sur le toit (vu à Dire Dawa).
Transport de moutons
Il y a encore beaucoup de Peugeot 404 à Harar.
Taxis à Harar
Camions Fiat (vus à Hawassa)
Vieux camions Fiat
Les productions agricoles et le bois pour la cuisine sont souvent portés par les femmes.
Transport local
Le transport local se fait aussi avec des charettes tirées par un âne ou un petit cheval (ici à Butajira).
Charrettes hippomobiles
Ramassage scolaire (ici à Ziway).
Ramassage scolaire
Sur la Route de Djibouti les camions transportent des conteneurs. Cet attelage (tracteur Renault  à 4 essieux) comporte au total 28 roues.
Tracteur Renault et remorque
Ces caisses sont vides, je crois.
Transport
Les crevaisons restent fréquentes.
Crevaison
On s'arrête parfois pour changer les plaquettes de frein. Ici il restait seulement 10 km, tout en montée.
Urgence mécanique
Les opérateurs de minibus ont prévu les plaquettes de rechange.
Plaquettes de frein
À la fin de 2017 les Oromos manifestaient et bloquaient parfois les routes (Ici entre Awash et Harar).
Manifestation
Les accidents sont fréquents. J'ai vu beaucoup de véhicules accidentés, souvent depuis peu de temps.
Accident
Situation spectaculaire après un accident (entre Dire Dawa et Harar).
Accident
Il y a aussi des véhicules qui prennent feu.
Accident
Autre accident spectaculaire (dans la descente vers Dire Dawa).
Accident
Un autocar qui a pris feu.
Incendie

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La nourriture
Je n'ai pas vraiment fait de gastronomie, me contentant de manger simplement comme le font les Éthiopiens. Je mange en général peu de viande, et il est plutôt facile de trouver des plats végétariens. Le seul poisson que j'ai mangé est celui du Lac Awasa (voir plus haut). L'injera accompagne souvent les différentes préparations à base de légumes ou de viande.

Voilà ce que j'écrivais en 2014 sur l'injera.
Balangeru (bière)
Cette pâte à base de lentilles est très épicée (Ziway).
Injera et pâte de lentilles
On découpe l'injera en petits morceaux et on les met dans cette soupe de viande de chèvte (Ziway).
Soupe avec viande de chèvre
Le repas le pluc cher : 130 Birrs avec la boisson soit 4,10 Euros (Mojo).
Viande grillée
Il existe maintenant des fours électriques pour la cuisson de l'injera ; ici c'est encore le fourneau traditionnel au charbon de bois (Harar).
Cuisson de l'injera
Service rapide de livraison.
Livraison de l'injera
Il s'agit ici d'une pâte de céréale avec un œuf, des oignons et des piments (Harar).
Fourneau de cuisson
J'ai aussi mangé des fruits, par exemple ces avocats et ces corossols (Harar).
Corossols et avocats

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Le café
Le café est important en Éthiopie, à la fois comme boisson traditionnelle et comme produit d'exportation. On en trouve partout dans la rue. On le consomme souvent réchauffé, pour quelques centimes d'Euro, ou alors préparé de façon plus cérémonielle (c'est un peu plus long). Il est parfois consommé avec un brin de rue (Ruta graveolens).

Voilà ce que j'écrivais en 2014 sur le café.
Kool (eau gazeuse
Le café est grillé ou torréfié juste avant préparation.
  Torréfaction
Il est moulu avec un mortier et un pilon.
Mouture
On le fait infuser dans le récipient sur des charbons de bois.
Infusion
Service traditionnel. Au premier plan il y a des écorces parfumées qui se consument.
Service
Le café est souvent servi avec des brins de rue (sans doute Ruta graveolens) qui lui ajoutent un goût amer.
Café avec brins de rue

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Le qat
Le qat (Catha edulis) est largement consommé dans toute la Corne de l'Afrique et aussi au Yémen. L'Éthiopie est le principal pays producteur, et il s'agit de la deuxième exportation du pays, après le café. La plaque tournante de ce marché est Awaday, à proximité de Harar. Il existe même un trafic à destination des pays où le qat est illégal.

Voilà ce que j'écrivais en 2014 sur le qat
Bedela (bière)
Plantations de qat dans l'Est de l'Éthiopie (entre Awash et Harar).
Plantations de qat à flanc de colline
Les branches de qat sont soigneusement triées pour ne conserver que les jeunes feuilles (Ouest de l'Éthiopie).
Tri avant emballage et expédition
Porteur de qat à Awaday (près de Harar). Awaday est le centre d'expédition du qat.
Distribution
L'emballage permet une meilleure conservation du qat (Ouest de l'Éthiopie).
Conditionnement pour longue distance
Il y a plusieurs marchés de qat à Harar. Ici c'est le début du marché nocturne.
Petit marché au qat (Harar)
Autre image à Awaday. On est à quelques km à l'Ouest de Harar, en Région Oromia.
Distribution (Awaday, région de Harar)

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L'eau
L'eau ne manque pas partout en Éthiopie. Une partie du pays reçoit une précipitation abondante. Cependant il y a très peu de familles qui ont de l'eau courante à domicile. Comme ailleurs dans le Tiers-Monde les bouteilles en plastique sont un fléau. Pour ma part je n'ai pas acheté une seule bouteille en plastique. J'ai bu beaucoup un peu de bière (les bouteilles sont réutilisées), du thé, du café, et l'eau du robinet avec ma LifeStraw. Faites comme moi.

Voilà ce que j'écrivais en 2014 sur l'eau.
Dashen (bière)
Attente pour l'eau (quelque part entre Mojo et Ziway)
Vallée du Rift
Entre Dire Dawa et Dawale (le long du Chemin de fer)
Région Somali
Pas très loin de Dawale (le long du Chemin de fer)
Région Somali
Au Somaliland, près de la frontière avec l'Éthiopie
Au Somaliland
L'eau est plutôt abondante dans les montagnes de l'Ouest, mais il faut aller à la pompe
Ouest de l'Éthiopie
Longue attente pour tout remplir
Ouest de l'Éthiopie

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L'Amharique
Une majorité d'Éthiopiens pratique l'Amharique comme première ou seconde langue. L'Amharique est la langue de travail du gouvernement fédéral. Cette langue chamito-sémitique s'écrit avec l'alphasyllabaire amharique, comme d'autres langues de la région. un exemple est présenté ci-dessous. Je n'ai pas fait de progrès depuis 2014 dans cette langue. Quelques mots italiens sont passés dans la langue amharique, par exemple Piazza, Mercato ou Gommista.

Voilà ce que j'écrivais en 2014 sur l'écriture éthiopienne
Habesha (bière)
Copie de la page de Wikipedia en Amharique, au sujet de l'Éthiopie. Un clic sur ce petit extrait va montrer un extrait plus grand (dans cet onglet).
Extrait de la page de Wikipedia en Amharique au sujet de l'Éthiopie   ኢትዮጵያ

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Les constructions
En zone rurale les constructions traditionnelles restent majoritaires. Sur un treillis fait de branches on applique un torchis de terre, paille et bouse. En zone urbaine je suis toujours impressionné par ces échafaudages fait de troncs minces liés ensemble. Je ne sais pas si les métiers du Bâtiment ont plus d'accidents du travail que chez nous. On construit toujours des mosquées et des églises, peut-être en rapport avec la croissance de la population.

Voilà ce que j'écrivais en 2014 sur les constructions
Harar (bière)
Dans l'Est du pays (ici un peu à l'Est de Awash), on voit ces villages  de huttes très sommaires.
Habitat très simple dans l'Est du pays
Grande hutte ciculaire (entre Weikite et Butajira)
Maison traditionnelle
Échafaudage pour la construction d'un immeuble (ici à Shashamene).
Immeuble à Shashamene
Les pierres et les autres matériaux de construction sont transportés (par des femmes) sur ces brancards
Transport de matériaux
Construction d'une église à Shashamene
Construction d'une église
Échafaudage complexe (ici à Jijiga)
Échafaudage
Échafaudage et plans inclinés (ici à Gambela)
Échafaudage
Construction d'un minaret (vers Karamile ou Chelenko, je crois)
Minaret
Échafaudage et plans inclinés (ici à Harar)
Échafaudage
On cultive des fleurs dans la Vallée du Rift (surtout des roses). Elles sont exportées vers l'Europe.
Serres dans la Vallée du Rift

Entre le début 2014 et la fin 2017 presque quatre années ont passé. Certains édifices qui étaient en construction sont maintenant terminées ou presque.
Minaret à Ziway : à gauche au début de 2014, à droite à la fin de 2017.
Minaret à Ziway
Église à Ziway : à gauche au début de 2014, à droite à la fin de 2017.
Église à Ziway
Minaret à Babile : à gauche au début de 2014, à droite à la fin de 2017.
Minaret à Babile

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Le train
De la ligne de chemin de fer entre Addis Abeba et Djibouti, inaugurée en 1917, seul le tronçon entre Dire Dawa et Djibouti est encore en service. Il se termine d'ailleurs à la frontière et ne pénètre plus dans le territoire de Djibouti. À Dire Dawa on peut visiter les ateliers de réparation et ce qui reste d'anciens matériels. Les employés parlent encore le Français. J'avais vu des reportages sur ce train, et je regrettais de ne pas l'avoir pris en 2014. Cette fois je me suis bien renseigné sur les horaires et j'ai pu voyager le samedi vers la frontière pour revenir le dimanche vers Dire Dawa. Le voyage dure environ onze heures, avec des longs arrêts dans quelques petites villes pour charger ou décharger des marchandises.
Ce site remarquablement complet vous apprendra tout sur ce chemin de fer.
Saint-George (bière)
Écoutez l'ambiance dans le train

Dans le train il y a des discutions âpres et soutenues entre les femmes qui veulent mettre leur marchandises au bon endroit pour les décharger plus facilement à l'arrivée. Je crois qu'elles s'expriment en Somali.
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Les locomotives et les wagons peuvent être dirigées vers un des ateliers de réparation
Table tournante
Plusieurs locomotives Alsthom BB à Dire Dawa. Elles datent des années 80. La BB 1215 date de 1984.
Locomotives Alsthom BB
Atelier d'usinage de la Compagnie de Chemin de Fer à Dire Dawa
Atelier d'usinage
Les anciens équipements sont encore visibles derrière la gare de Dire Dawa
Matériel ancien hors d'usage à Dire Dawa
Billet de train (2ème classe) entre Dire Dawa et Gelile (frontière). La date est dans notre format usuel, pas dans le format éthiopien (ce serait le 07/04/2010). Le prix est de 155 Birr (environ 5 Euros).
Billet de train Dire Dawa - Gelile
La Gare de Dire Dawa. Remarquez les indications écrites en Français.
La Gare de Dire Dawa
On charge des produits agricoles qui seront vendus à Djibouti. En sens inverse on ramènera de l'huile de cuisson et du concentré de tomates.
Chargement à l'aube
Un arrêt dans une petite ville.
Arrêt dans une petite ville
Un arrêt dans une petite ville.
Arrêt dans une petite ville
Vue du train dans une courbe.
Le Train dans une courbe
Le train au terminus, au poste-frontière de Gelile. Il ne va pas plus loin et va retourner à Dawale pour la nuit.
Terminus à Gelile (frontière)
Dawale se trouve à quelques km de la frontière. c'est une petite ville avec un hôtel et quelques commerces. Les aiguillages et les voies permettent de replacer la locomotive à l'avant du train pour le retour (loco en marche arrière).
La gare de Dawale
Le train passe la nuit à Dawale avant de retourner à Gelile au petit matin.
La gare de Dawale
À Gelile au petit matin, avant le départ vers Dire Dawa.
Au départ de Gelile
Dans le train : un voyageur heureux.
Dans le Train
Le paysage pas très loin de Dawale et de Djibouti.
Paysage près de Dawale
Il y a un tunnel sur la ligne.
À l'approche du tunnel
Le train s'arrête dans plusieurs villages et plusieurs petites villes. Il n'y a pas toujours de nom visible.
Passage dans un village
Sur le trajet on voit plusieurs wagons accidentés.
Wagon accidenté
Arrêt dans une petite ville.
Arrêt dans une petite ville.

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Autres
Cette page est déjà bien longue. Il y a encore quelques photos que j'aimerais montrer, mais sans justifier d'un paragraphe de titre principal. Comme j'ai dit plus haut, beaucoup de photos sont prises depuis un bus roulant sur les chaussées d'Éthiopie, ce qui explique leur qualité fort médiocre.

Voilà mon paragraphe "Divers" de 2014
Walia (bière)
La Faune
On voit quelques animaux sauvages, même depuis le bus. Dans l'ouest du pays j'ai vu plusieurs fois des colobes, et depuis le train des petits groupes de gazelles (je ne suis pas sûr de l'espèce). On voit aussi des babouins hamadryas, et partout beaucoup d'oiseaux.
Choucador à oreillons bleus (Lamprotornis chalybaeus), oiseau commun en Afrique (ici à Harar)
Choucador à oreillons bleus
Rapace commun en Éthiopie (ici à Harar)
Rapace à Harar
Babouin hamadryas (Papio hamadryas) près de Dire Dawa
Babouin hamadryas
Gazelle vue depuis le train (près de Dawele)
Gazelle

Les Animaux d'Élevage
L'élevage est plutôt extensif, surtout là où la végétation est clairsemée. On voit beaucoup de troupeaux de chèvres et de moutons, mais aussi des bovins et des dromadaires (surtout dans les régions sèches). Les petits chevaux sont utilisés pour tirer des charrettes. tout comme les ânes (aussi comme animaux de bât).
Moutons au marché de Dire Dawa. Ce sont des moutons à queue grasse, très prisés au Moyen-Orient.
Moutons au marché de Dire Dawa
Groupe de dromadaires. Ils sont nombreux dans l'Est du pays, mais aussi dans la vallée du Rift.
Groupe de dromadaires entre Dire Dawa et Harar
Cette race  de bovins à cornes en forme de lyre est très commune. (ici entre Ziway et Shashamene).
Bœufs à longues cornes

La Flore
Sans connaître grand chose en botanique j'aime bien les plantes qui ont des particularités. Les grands Ficus, qui couvrent une surface considérable se remarquent facilement. Il y a aussi de nombreuses espèces d'Euphorbes, dont certaines sont hautes comme des arbres.
Un grand Ficus près de Shashamene. i s'agit de Ficus Sycomorus (ou peut-être de Ficus vasta).
Grand Ficus dans la Vallée du Rift
Arbre sur la colline de rocher au-dessus de Babile.
Arbre à Babile
Remarquez que certaines racines descendent depuis les branches.
Ficus à Ziway
Euphorbes dans les montagnes de l'Est.
Grandes Euphorbes

Agriculture
J'ai vu des travaux agricoles, essentiellement depuis le bus. L'agriculture est encore peu mécanisée. Les labours se font à la charrue tirée par des bœufs, la moisson reste manuelle, tout comme les opérations de séparation des grains. Outre les céréales on cultive beaucoup de légumes, toujours de façon peu mécanisée. Dans la Vallée du Rift j'ai eu l'occasion de manger des fraises.
Transport de céréales en gerbes.
Transport de céréales
Foulage par des bœufs. J'ai aussi vu le battage au fléau.
Foulage des céréales par les bœufs
Battage mécanisé ; c'est encore rare.
Battage mécanisé
Vannage des grains de céréale.
Vannage

Inclassables
Trois photos difficilement classables avec d'autres de cette page. À gauche on voit deux ponts sur la Rivière Awash (dont celui de l'ancienne ligne de chemin de fer). Pendant mon séjour il y avait des manifestations du peuple Oromo (au milieu). L'image de droite montre un village entier fait de petites huttes rondes recouvertes d'une bâche en plastique.
Un peu à l'Est de Awash, quatre ponts franchissent la rivière. Le plus au Sud est celui de l'ancienne ligne de chemin de fer. La route est à chaussées séparées et utilise deux ponts. Enfin, derrière le photographe, il y a le pont de la nouvelle ligne de chemin de fer.
Deux ponts sur la Rivière Awash
La politiue reste très liée à l'ethnicité en Éthiopie. Les Oromos en ont été les victimes et manifestent.
Manifestation Oromo
Un village presque entièrement constitué de petites huttes rondes recouvertes d'une bâche (entre Babile et Jijiga).
Village de huttes très simples

Autoportraits
Pour finir, trois photos de moi, sans plus de commentaire.
Avec mon copain de 97 ans à Ziway.
Mon copain qui a 97 ans (Ziway)
Le train à Gelile un peu avant son départ vers Dire Dawa.
Le train à Gelile (frontière avec Djibouti)
Sur le Lac Awasa, pour aller voir les hippos.
En bateau sur le Lac Awasa

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